Les personnages
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Léandro
Laura
Cyril Rigault
Alexandre
Francoisv
Inès
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Les personnages
Je vous laisse partager vos personnages. Si vous pouviez me donner également un background ça serait super.
N'hésitez pas à m'envoyer un MP (sur discord c'est mieux) si vous voulez parler de votre traumatisme et de votre sombre secret.
N'hésitez pas à m'envoyer un MP (sur discord c'est mieux) si vous voulez parler de votre traumatisme et de votre sombre secret.
Chloé- Membre
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Re: Les personnages
Noah est un pauvre orphelin de 19 ans venant de Östhammar, il est toujours accompagné de son seul amour, son chat Carlos.
C'est un gars plutôt sympa à priori par contre il n'est pas rare de perdre une chose ou deux en le rencontrant que ce soit une montre, des dents ou les deux surtout si vous touchez à Carlos.
Même si il est plutôt calme et discret la majorité du temps. Il n'a pas de proche à part sa mère décédée nommée Elsa, une ancienne servante d'un dénommé Franz Almklint, un haut gradé militaire. Ce haut gradé qui étrangement a viré Elsa directement après avoir appris qu'elle était enceinte à 15 ans sans être marié. Cet homme qui était âgé alors de 45ans avec une femme et deux enfants, Dorotea et Valentina, 5 ans et 2 ans chacune. Il a donc été élevé seule par sa mère, sans être courant sur sa naissance et s'est mis à vagabondé à partir de 13ans de villages en villages.
C'est un gars plutôt sympa à priori par contre il n'est pas rare de perdre une chose ou deux en le rencontrant que ce soit une montre, des dents ou les deux surtout si vous touchez à Carlos.
Même si il est plutôt calme et discret la majorité du temps. Il n'a pas de proche à part sa mère décédée nommée Elsa, une ancienne servante d'un dénommé Franz Almklint, un haut gradé militaire. Ce haut gradé qui étrangement a viré Elsa directement après avoir appris qu'elle était enceinte à 15 ans sans être marié. Cet homme qui était âgé alors de 45ans avec une femme et deux enfants, Dorotea et Valentina, 5 ans et 2 ans chacune. Il a donc été élevé seule par sa mère, sans être courant sur sa naissance et s'est mis à vagabondé à partir de 13ans de villages en villages.
- Spoiler:
- Le matin de ses 13ans, Noah se réveilla à l'aube à cause d'un bruit provenant de la chambre de sa mère. Doucement, il se glissa vers la porte et l'entrouvrit. Une créature hideuse était sous ses yeux, pareille à un cadavre avec de longues griffes ,ornée d'ailes noires et de cornes, seul ses seins pendant lui donnèrent un air humain. Elle se retourna lentement vers lui. Noah stupéfié, l'appela par son nom. La créature poussa un cri et partit en fumée. A la fin tout ce qu'il restait, c'était la tête découpée de sa mère gisant sur le sol.
Peu de temps après, les circonstances de la mort étrange d'un certain M.Almklint parut dans les journaux. On dit qu'un démon lui aurait aspirer toute sa vitalité.
Inès- Membre
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Re: Les personnages
top ! merci Inès ^^
Chloé- Membre
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Re: Les personnages
Charles Henri Emmanuel MERCIER est un jeune médecin français d'une trentaine d'année. Fier de son milieu et statut social, il a tendance a mépriser ses inférieurs. A tendance républicaine et anti bonapartiste, il a quitter la France pour la suède pour se faire un peu oublier. Issu d'une famille bourgeoise,il a été elevé par son père strict et royaliste suite au décès de sa mère suédoise. Arrivé à l'age adulte, il est entré à l’école de médecine de paris sur les injonctions paternelles.
- Spoiler:
Motivation : devenir un "grand" médecin
Traumatisme: Il a assisté à la mort de sa mère par un vaesen et a profondément enfoui ce souvenir
Sinistre Secret: Sa capacité de voir les vaesen a refait surface à l'age adulte, et il a accidentellement tué un patient qui était un vaesen.
Francoisv- Membre
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Re: Les personnages
Verossa est une occultiste de 27 ans, quand elle était enfant elle vivait avec ses parents et sa sœur Sara qui était dans la classe moyenne mais un jour un vessen attaqua sa famille. Ce jour la elle découvrit son habilité à voir les Vessen, malheureusement ses parents ne ressortir pas vivant et laissa sa sœur et elle orpheline mais elles trouvât une cabane dans les bois quelles prit comme nouvelle maison. Verossa a ce moment la avait 11ans et sa sœur 10, elles ont vécu ainsi pendant 4ans dans ce lapse de temps elle avait fait la rencontre d'une dame qui les prirent comme apprenties mais 2ans plus tard Verossa eux sa première vision oui elle une fille avec le visage flouté se tenir devant une tombe, ceci lui fit peur et elle le garda pour elle malheureusement 1 semaine plus tard sa sœur tomba gravement malade et décéda 2 mois plus tard. elle se tenait devant sa tombe et a ce moment la que elle réalisa que la vision était d'elle devant la tombe de sa soeur. s'ensuit après une vie ou durant les 10ans elle arnaqua, fit des remède ect.. pour gagner sa vit.
Alexandre- Membre
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Re: Les personnages
Mr STUART Rollo est un jeune détective récemment revenu dans la région .
Fils de Mr Stuart Henry et Margarette décédés dans un accident de bateau il y a 5 ans où son frère a disparu .
Fut élevé par sa vielle tante bigote avec sa bible et sa badine .
S' enfui des ces 14 ans pour devenir commis chez un détective qu il aida par son don ,jusqu’à la mort de ce dernier .
Fils de Mr Stuart Henry et Margarette décédés dans un accident de bateau il y a 5 ans où son frère a disparu .
Fut élevé par sa vielle tante bigote avec sa bible et sa badine .
S' enfui des ces 14 ans pour devenir commis chez un détective qu il aida par son don ,jusqu’à la mort de ce dernier .
Cyril Rigault- Membre
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Re: Les personnages
Voici mon petit perso, que je serai triste de ne plus beaucoup jouer avec vous :'(
Nom : Elias
Âge/Tranche d'âge : ~35 ans
Archétype : Pasteur
Description : Grand, cheveux noirs, yeux gris, cicatrices et marques diverses et variées sur le corps (surtout les bras, le buste, le dos, des endroits pas forcément immédiatement visibles). Apparence austère, tempérament calme et posé mais il est prompt à aider les gens autour de lui, incarnant de manière généralement exemplaire les idéaux de charité et de bienveillance de sa religion.
Nom : Elias
Âge/Tranche d'âge : ~35 ans
Archétype : Pasteur
Description : Grand, cheveux noirs, yeux gris, cicatrices et marques diverses et variées sur le corps (surtout les bras, le buste, le dos, des endroits pas forcément immédiatement visibles). Apparence austère, tempérament calme et posé mais il est prompt à aider les gens autour de lui, incarnant de manière généralement exemplaire les idéaux de charité et de bienveillance de sa religion.
Résumé du concept pour ceux qui ont la flemme de tout lire : Un ancien débauché devenu pasteur
- Backstory:
- Elias est issu d'une famille aisée. Ses parents sont morts alors qu'il était enfant, il a donc été élevé par sa grand-mère, une femme stricte, et son grand-père, qui était à un stade avancé de démence et qui n'avait plus toute sa tête. Sa grand-mère était la cheffe de famille, et très pieuse, tournée vers la foi catholique, faisant des dons généreux à des organisations catholiques à l'étranger. Lors d'un voyage en Italie, elle avait traîné Elias à des messes dans des cathédrales sublimes. Le jeune homme s'y était fortement ennuyé et il trouvait par ailleurs que toute cette opulence allait à l'encontre des idéaux chrétiens, mais cette vision de la religion l'a poussé à s'y opposer ardemment.
Pendant son adolescence, sa grand-mère est morte de la tuberculose, et il s'est retrouvé tout seul avec son grand-père. Se rebellant contre l'éducation stricte de sa grand-mère, Elias a profité de sa nouvelle liberté pour faire tout ce qu'il voulait. Pendant les années suivantes, officiellement, le grand-père gérait les affaires de la famille mais officieusement, c'était Elias qui prenait la plupart des décisions. Le grand-père se contentait de signer les chèques qu'Elias lui glissait sous la main.
Jeune adulte, Elias vivait une vie de plaisirs, dépensant sans compter l'argent de sa famille, fréquentant des maisons closes, maltraitant les gens de rang inférieur.
- ''Ah merde'', aka traumatisme:
- Il a en particulier eu un parcours sexuel très intense, explorant toutes sortes de pratiques qui feraient pâlir la plupart des gens droits et dont il rougit encore. La majorité de ses cicatrices lui viennent de cette période. C'est lors d'une de ces soirées qu'il a eu un premier déclic. Alors qu'une boisson étrange était servie à tous les participants, Elias a été subitement pris d'un malaise en voyant certains participants mordre d'autres jusqu'au sang (alors que bon, pour l'avoir déjà fait et déjà reçu, d'habitude il pouvait tolérer). S'étant isolé quelque temps pour rendre son repas, à son retour, il semblait être la seule personne consciente de l'horreur qui s'offrait à lui : les participants étaient tous trop drogués pour résister aux créatures humanoïdes qui les dévoraient maintenant ouvertement, se nourrissant de leur sang et de leur chair. Horrifié, Elias s'est enfui, et après trois ou quatre journées de repos intensif, il a commencé à reprendre ses esprits. Reprenant sa vie de débauche, il se trouvait cependant incapable de retrouver l'extase qu'il avait passé tant d'années à côtoyer. Il était incapable de se défaire de la vision d'horreur de ce soir-là, revoyant encore et encore la scène dans ses cauchemars.
Conformément à ma tradition je mets un thème musical à cette section pour ceux qui veulent se faire une idée de ce qui lui est arrivé sans forcément lire :
- Suite + objet fétiche:
- Alors que sa santé physique se dégradait à cause de ses terreurs nocturnes récurrentes, il fut un jour trouvé par un messager, qui venait lui apprendre la mort de son grand-père. Trop occupé à mener sa vie de débauche, Elias ne s'était pas rendu compte que depuis plusieurs mois, son grand-père tombait à son tour gravement malade, et qu'il ne leur restait pratiquement plus d'argent. Le messager, un simple vagabond qui réclamait une compensation financière pour son déplacement, dit avoir trouvé dans la rue un vieillard mort, au col taché de sang, serrant dans un poing une enveloppe contenant une lettre adressée à Elias ainsi qu'un chèque. La lettre expliquait que le chèque contenait toute la fortune ce qui lui restait : les terres, la maison, le mobilier, l'argenterie, le grand-père a tout vendu, jusqu'au dernier bouton de veste pour maintenir les dépenses de son petit-fils, sans même garder de quoi payer un médecin pour le guérir. Le chèque en question comportait une somme ridicule, à peine assez pour faire vivre quelqu'un du rang d'Elias pendant trois jours tout au plus, mais Elias n'a jamais encaissé ce chèque, qu'il garde à ce jour entre deux pages de sa bible.
Incapable de continuer à vivre comme avant, il s'est débarrassé de toutes ses possessions et il a décidé de consacrer le reste de sa vie à la foi, trouvant sa place dans l'austérité des croyances protestantes. Il cherche aujourd'hui à se laver de ses péchés passés et à aider les âmes perdues, comme lui.
Bien qu'il lui arrive, depuis la soirée sanglante, qu'il puisse percevoir et parfois même voir des créatures étranges, il ne les voit pas toutes comme des créatures malfaisantes. Partant du principe que toute créature est l'œuvre de Dieu, et qu'il n'existe aucune créature fondamentalement mauvaise, mais uniquement des créatures manipulées par le Mal, il a réussi à accepter l'existence de ces êtres et à les intégrer dans sa croyance.
Bien qu'il lui arrive, depuis la soirée sanglante, qu'il puisse percevoir et parfois même voir des créatures étranges, il ne les voit pas toutes comme des créatures malfaisantes. Partant du principe que toute créature est l'œuvre de Dieu, et qu'il n'existe aucune créature fondamentalement mauvaise, mais uniquement des créatures manipulées par le Mal, il a réussi à accepter l'existence de ces êtres et à les intégrer dans sa croyance.
Dernière édition par Laura le Sam 6 Juil - 23:30, édité 1 fois
Laura- Membre
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Re: Les personnages
Mikael Ebraf, jeune pasteur de 20ans
De son vrai prénom Jonathan Redwish a pris l'identité de Mikael Ebraf et se fait passer pour lui (la ressemblance aidant beaucoup) . Assez extrême vis-à-vis ce que y est tolérable ou non aux yeux de la religion avec une haine viscérale envers les sorcières (ayant déjà fait bruler plusieurs d'entre-elles qui étaient mères de famille).
De son vrai prénom Jonathan Redwish a pris l'identité de Mikael Ebraf et se fait passer pour lui (la ressemblance aidant beaucoup) . Assez extrême vis-à-vis ce que y est tolérable ou non aux yeux de la religion avec une haine viscérale envers les sorcières (ayant déjà fait bruler plusieurs d'entre-elles qui étaient mères de famille).
Léandro- Membre
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Re: Les personnages
Sallah Fam Almalak est un homme d'âge mur, probablement un peu plus que la quarantaine, qui s'est présenté à la Confrérie munie d'une lettre et a rejoins les membres du groupe pour les aider dans leurs tâches.
Loyal, souriant et serviable, il ne dissimule pas sa fierté d'avoir été pendant quelques années, l'aide de camp et serviteur personnel de Johan David Akerblad, le célèbre égyptologue suédois aujourd'hui décédé mais qui a marqué son temps en permettant à Champollion d'exploiter les inscriptions de la pierre de Rosette.
Le seul défaut connu de Sallah est son insatiable goût pour le hashish qui lui permet "de me détendre avant la nuit".
Loyal, souriant et serviable, il ne dissimule pas sa fierté d'avoir été pendant quelques années, l'aide de camp et serviteur personnel de Johan David Akerblad, le célèbre égyptologue suédois aujourd'hui décédé mais qui a marqué son temps en permettant à Champollion d'exploiter les inscriptions de la pierre de Rosette.
Le seul défaut connu de Sallah est son insatiable goût pour le hashish qui lui permet "de me détendre avant la nuit".
JyV- Membre
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Re: Les personnages
Skog STARK
Je suis né il y a 20 ans dans un hameau qui ne porte pas de nom, à 3 jours au nord-ouest d’Upsala entre le lac de Tämnaren et la Forêt Sombre.
Issu d’une famille de fermier pauvre, je suis l’ainé d’une fratrie de 5 enfants. Après moi viennent Dum, Annika, Olof et Ingrid.
Très tôt j’ai dû aider à la ferme. Pour moi l’école était uniquement l’hiver. Aujourd’hui encore mon niveau d’éducation reste très faible. Lorsque je dois lire, mon doigt suit la ligne et mes lèvres remuent en silence.
Dum n’a jamais pu aider. C’est un simple d’esprit, le préféré de ma mère.
A l’âge de 8 ans je me suis perdu dans la forêt en cherchant des champignons. Je ne m’étais beaucoup éloigné de la ferme, mais les Bois Sombres sont hantés et égarent les voyageurs imprudents. J’ai survécu plusieurs jours, plus qu’un enfant de mon âge n’aurait dû. Une nuit, au bord de l'agonie, j'ai vu les esprits. Ils dansaient, chantaient et m’appelaient en se moquant de moi.
C’est mon grand-père qui m’a retrouvé et porté jusqu’à la ferme. C’est aussi lui qui m’a giflé et frappé à chaque fois que je parlais des esprits : « Ne parle pas du Malin, tu le fais venir ». J’ai appris à me taire. Même après sa mort j’ai gardé mes visions pour moi, jusqu’à ce que je reçoive la lettre de Linéa et que je rejoigne la confrérie.
J’avais 11 ans quand mes parents sont entrés dans la forêt pour ne jamais en ressortir. Cela fait bientôt 10 ans mais une part de moi n’est pas en repos. Je veux les retrouver, eux ou leurs corps.
A la disparition de mes parents, c’est ma grand-mère Nettie qui nous a élevé. Pour moi, cela a aussi sonné la fin de l’école. J’ai dû travailler tous les jours, toute l’année.
Avec les années je suis devenu grand, fort, résistant. J’ai rejoint les camps de bucherons l’hiver. Je travaille pour ma famille, je ne pense pas à en créer une. J’ai besoin d’argent pour que celui qui épousera Annika soit un beau parti.
La lettre de Linéa a bouleversé ma vie. Nous verrons bien...
- Sinistre secret:
- A 12 ans, j'ai abandonné Dum, mon petit frère simplet à l'orphelinat. C’était une bouche inutile à nourrir.
Durant ses moments de libre il travaille à débroussailler le parc du manoir et à faire des stocks de bois pour l'hiver.
Tristan- Membre
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Re: Les personnages
Bruno Mc Laren né en 1916 dans un petit village de Suède. Mes parents sont des étrangers anglais qui sont venus pour fonder une famille loin des persécutions religieuse fait par les anglican. Je suis l'ainé des deux enfants. ma petite sœur qui est décedé aurait fêter c'est trente ans.
Très jeune j'ai quitté la maison familiale et je suis parti dans la forêt. J'ai pu y survivre grâce a ma connaissance forestière. Vers mes 14 ans un groupe de bucherons m'a recueilli et m'a élevé jusqu'à mes 18 ans où je suis parti pour trouver un travail dans une scierie.
Un beau jour je reçus la lettre de Linnéa et suite à sa rencontre je rejoignis la Confrérie.
- sinistre secret/traumatisme :
- Quand nous avions 9 ans pour moi et 5 ans pour ma sœur nous nous trouvions en foret avec ma sœur trébucha sur une racine qui se mis a bouche et la tira sous un grand arbre qui bouge tout seule. Je ne le revis plus jamais. Ducoup les gens pense que j'ai tuer ma sœur.
Très jeune j'ai quitté la maison familiale et je suis parti dans la forêt. J'ai pu y survivre grâce a ma connaissance forestière. Vers mes 14 ans un groupe de bucherons m'a recueilli et m'a élevé jusqu'à mes 18 ans où je suis parti pour trouver un travail dans une scierie.
Un beau jour je reçus la lettre de Linnéa et suite à sa rencontre je rejoignis la Confrérie.
louis- Membre
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Re: Les personnages
Gustav Halvardson :
Je suis né vers...1812...en tout cas en Eté...à ce qu’il paraît….dans une famille de pêcheurs au village Tingstäde au nord-ouest de wisby sur l’île de Gottland. Mon grand-père, maçon qui avait voyagé en Europe avant son retour sur sa terre natale pour y finir ses vieux jours m’avait appris à lire et à écrire ce qui ne plaisait pas du tout à mes parents n’y voyant là qu’une façon de m’éloigner de ma nature de pêcheur. En parfait Grand-Père il me racontait des histoires traditionnelles qu’il avait entendues au cours de ses voyages européens et qui me faisaient voyager à mon tour et mettait mon imagination d’enfant en ébullition. Je ne tardais pas à voir de choses étranges près du lac que j’imputais, alors, à mon imagination débordante et dont je gardais, honteusement, le témoignage secret. L’expérience la plus traumatique, à mon adolescence, fut de voir Björn, mon meilleur ami, se faire dévorer par un gigantesque loup à l’orée de la forêt qui bordait le lac. Ses parents, l’avaient cherché, partout, et je leur avais raconté qu’il s’était noyé, puisque le loup, d’une voix caverneuse, avait menacé de me croquer si je parlais de ce que j’avais vu. Pétrifié par la pensée d’avoir à revoir un jour cette créature je n’ai jamais osé en savoir plus.
J’avais alors commencé à boire discrètement, plus que de raison, sans doute pour dissimuler mon mal être et ne pas sombrer dans la peur.
En grandissant les choses ne s’étaient pas calmées, ni les visions, ni l’alcool. J’étais pourtant devenu instituteur et j’apprenais pendant quelques heures par semaine, à de jeunes enfants de ma communauté à lire et à écrire ce qui me donnait de bonnes excuses pour ne pas aller pêcher en mer avec ma famille (j’avais le mal de mer).
A 30 ans je m’étais décidé à écrire un conte : « le Babiroussa Hyperboréen », qui succinctement traitait de la différence, de ne pas être accepté au sein de son groupe, avec, une fin heureuse (il fallait bien faire plaisir au lecteur et lui raconter que le bien triomphait toujours…). Mon Babiroussa était une sorte de Vilain petit canard quadrupède dans un cadre nordique ce qui devait faire rire quelques imbéciles qui n’avaient rien compris à la morale de mon histoire. J’ai pu le tirer à quelques dizaines d’exemplaires grâce à un riche touriste anglais en villégiature sur l’île qui aimait les contes et à qui mon histoire amusait.
Le livre n’avait pas encore rencontré son public mais je ne désespérais pas,
Vers 1845 j’avais traversé la mer, en bateau, pour aller sur le continent, puis à Stockholm, pour me faire connaître et essayer de toucher un public plus...vaste. En attendant je m’étais fait engagé dans une école catholique comme assistant administratif. J’avais une vie assez austère et j’avais pour distraction mes livres et mon appareil photo dont certains ne connaissait pas la technologie et en était effarés.
Un jour, sur mon bureau, tout en machouillant mon crayon à mine graphite je rêvassais à mon prochain livre lorsqu’une lettre comminatoire était arrivée pour tenter de m’imposer d’aller jusqu’à Uppsala afin d’y rencontrer une vieille femme dans un asile. Posant quelques jours sans soldes, prétextant un décès dans ma famille j’y été allé plus par curiosité que par contrainte, sachant que de l’inattendu devaient surgir les événements les plus extraordinaires dans l’existence d’un alcoolique sujet à l’acrimonie.
Je suis né vers...1812...en tout cas en Eté...à ce qu’il paraît….dans une famille de pêcheurs au village Tingstäde au nord-ouest de wisby sur l’île de Gottland. Mon grand-père, maçon qui avait voyagé en Europe avant son retour sur sa terre natale pour y finir ses vieux jours m’avait appris à lire et à écrire ce qui ne plaisait pas du tout à mes parents n’y voyant là qu’une façon de m’éloigner de ma nature de pêcheur. En parfait Grand-Père il me racontait des histoires traditionnelles qu’il avait entendues au cours de ses voyages européens et qui me faisaient voyager à mon tour et mettait mon imagination d’enfant en ébullition. Je ne tardais pas à voir de choses étranges près du lac que j’imputais, alors, à mon imagination débordante et dont je gardais, honteusement, le témoignage secret. L’expérience la plus traumatique, à mon adolescence, fut de voir Björn, mon meilleur ami, se faire dévorer par un gigantesque loup à l’orée de la forêt qui bordait le lac. Ses parents, l’avaient cherché, partout, et je leur avais raconté qu’il s’était noyé, puisque le loup, d’une voix caverneuse, avait menacé de me croquer si je parlais de ce que j’avais vu. Pétrifié par la pensée d’avoir à revoir un jour cette créature je n’ai jamais osé en savoir plus.
J’avais alors commencé à boire discrètement, plus que de raison, sans doute pour dissimuler mon mal être et ne pas sombrer dans la peur.
En grandissant les choses ne s’étaient pas calmées, ni les visions, ni l’alcool. J’étais pourtant devenu instituteur et j’apprenais pendant quelques heures par semaine, à de jeunes enfants de ma communauté à lire et à écrire ce qui me donnait de bonnes excuses pour ne pas aller pêcher en mer avec ma famille (j’avais le mal de mer).
A 30 ans je m’étais décidé à écrire un conte : « le Babiroussa Hyperboréen », qui succinctement traitait de la différence, de ne pas être accepté au sein de son groupe, avec, une fin heureuse (il fallait bien faire plaisir au lecteur et lui raconter que le bien triomphait toujours…). Mon Babiroussa était une sorte de Vilain petit canard quadrupède dans un cadre nordique ce qui devait faire rire quelques imbéciles qui n’avaient rien compris à la morale de mon histoire. J’ai pu le tirer à quelques dizaines d’exemplaires grâce à un riche touriste anglais en villégiature sur l’île qui aimait les contes et à qui mon histoire amusait.
Le livre n’avait pas encore rencontré son public mais je ne désespérais pas,
Vers 1845 j’avais traversé la mer, en bateau, pour aller sur le continent, puis à Stockholm, pour me faire connaître et essayer de toucher un public plus...vaste. En attendant je m’étais fait engagé dans une école catholique comme assistant administratif. J’avais une vie assez austère et j’avais pour distraction mes livres et mon appareil photo dont certains ne connaissait pas la technologie et en était effarés.
Un jour, sur mon bureau, tout en machouillant mon crayon à mine graphite je rêvassais à mon prochain livre lorsqu’une lettre comminatoire était arrivée pour tenter de m’imposer d’aller jusqu’à Uppsala afin d’y rencontrer une vieille femme dans un asile. Posant quelques jours sans soldes, prétextant un décès dans ma famille j’y été allé plus par curiosité que par contrainte, sachant que de l’inattendu devaient surgir les événements les plus extraordinaires dans l’existence d’un alcoolique sujet à l’acrimonie.
al bino- Membre
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