MJ only
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MJ only
Albino - Roi Castro de Torrecedeira
- Perso:
- Origine culturelle : EspagnolOrigine sociale : NobleEnfance : OrphelineAdolescence : Sur les mersProfession : Joueur professionnelReligion : CatholiqueAvantages :Noble (Gentilhomme)Contact (Receleur)Allié (Marchand)Faiblesses :Ennemi (José Angrijano de la mota)Joueur invétéréDette importante (Manuel Fraga Iribarne)Riche bourgeois galicien / ami des parentsPNJs (d’importance) :José Angrijano de la motaBernardo Rodriguez Maldonado dit 'el chucho'Carlos Aguirre Guzman dit 'Carlito'Classe sociale : noble (gentilhomme -4pc)Hidalgo galicien issue de la noblesse castillane au XIIIe siècle. Actuellement ma famille est installée à Vigo depuis au moins deux siècles.Profession : joueur professionnel.Jeunesse :OrphelineJ'ai perdu mes parents assez tôt et après quelques brèves années d'études auprès d'un précepteur castillan de Salamanca du nom de Felix Rodriguez de la Fuente j'ai dû reprendre la maison fortifiée (El pazo de Cedeira) de mes parents et les quelques terres qu'ils possédaient. Mes fréquentations nocturnes étaient alcooliques : des marins et des pêcheurs et certains aux activités peu recommandables.Mon précepteur faisait partie d'une vieille noblesse castillane et n'ayant pas de descendance il m'enseigna avec dévouement l'escrime espagnole, « la destreza » activité pour laquelle j'étais particulièrement doué. Malheureusement il était âgé et il est mort soudainement d'une crise cardiaque alors qu'il me sermonnait sur mes mauvaises fréquentations.Sur les mersA l'adolescence je m'adonnais régulièrement au jeu (joueur invétéré +1pc) avec mes mauvaises fréquentations pour lequel j'étais doué. J'étais même parvenu à gagner quelques terres à mon riche voisin l'hidalgo José Angrijano de la Mota (je me croyais intelligent en faisant cela) malheureusement pour moi, s'apercevant de ma tricherie il ne tarda pas à me provoquer pensant m'arracher facilement les terres que je lui avais prise. Sans grande difficulté je le transperçais de part en part attirant l'attention des autorités qui m'obligèrent (j'avais mauvaise réputation) à me défaire d’une bonne partie de mes terres en réparation destinée à la famille du défunt. Les enfants de mon voisin, ses bâtards et sa nombreuse famille voulait me faire disparaître (ennemi +2 pc) et après plusieurs tentatives d'assassinat sur ma personne j'ai dû faire le nécessaire et me résoudre à disparaître loin. J'ai refusé de vendre ma maison (ce qui a grandement contrarié l'aîné de la Mota) et mes terres restantes et j'ai contracter des dettes (dette importante +2pc) auprès d'un riche bourgeois pour m'établir près de Santiago de Cuba et exploiter la canne à sucre et faire fructifier ce capital sur mes nouvelles terres. Mais malheureusement le bateau qui m'emmenât jusqu'à Cuba fit naufrage et je perdis une bonne partie de la somme empruntée. Je me suis mis alors à jouer, et à trafiquer à Cuba, pour survivre ... jusqu'à récemment.ROI CASTRO DE TORRECEDEIRA
Mon nom est : Roi Castro de Torrecedeira et je suis né en 1689 à Redondela dans la province de Pontevedra au bord située sur la Ria de Vigo. Mon père était Don Pedro Castro de Torrecedeira (Fidalgo)et ma mère Dona Filomena de la Serna Cesantes (également issue de la noblesse galicienne).
Mon surnom : est « Farrucco » (chez les malfrats et chez les joueurs) à cause des histoires drôles qui me servaient à détendre l’atmosphère lors des parties de cartes, de dés, ou des veillées nocturnes en attendant les marchandises à convoyer.
Classe sociale : noble (noblesse gentilhomme -4pc)
Fidalgo galicien issue de la noblesse castillane au XIIIe siècle. La tradition familiale m’a transmis que ma famille a été anoblie en 1212 sur le champ de bataille de las Navas de Tolosa où mon ancêtre Breogan de Torrecedeira y Soutomayor a brillé au combat aux côté d'Alfonse VIII, roi de Castille. Mon ancêtre a reçu à l'adoubement plusieurs hectares en Castille, dont il se défera quelques années plus tard afin d'en acquérir de nouvelles terres à Redondela sur la côte galicienne d’où il était originaire et où il épousera une cousine de sa famille maternelle et de laquelle il aura une nombreuse descendance.
Profession : actuellement je suis joueur professionnel. J'ai appris les principes de différents jeu de cartes et de dés sur le tas à cause de mes mauvaises fréquentations nocturnes et je me suis perfectionné surtout parce que le hazard me comblait de ses bienfaits. A cause de cela les jaloux prétendaient que j'excellais dans la tricherie (c'est peut-être vrai aussi).
Poste à bord : à déterminer....Mais certaines compétences peuvent être utiles au quotidien sur le bateau. Il a commerce/Lire et écrire/chasse/larcin/étiquette/anglais (langue actuelle galicien-castillan)/connaissance nautiques et navigation.
Jeunesse :
1/Orpheline :
J'ai perdu mes parents assez tôt : à ma naissance pour ma mère (morte en couches) et à 13 ans pour mon père le 23 octobre 1702 lors de l’attaque de l’Amiral Rooke sur le convoi franco-espagnol dans la Ria de Vigo connue comme la bataille de Rande. J'ai perdu également un frère et une sœur en bas âge, l'un de dysenterie et l'autre de causes inconnues.
Mon père, soucieux de m'édifier moralement et intellectuellement avait engagé en 1698, un précepteur, Felix Rodriguez de la Fuente, un dévot, noble désargenté, castillan de Salamanca, sexagénaire qui s'était installé avec sa femme (dans le village de celle-ci, A Portela) près de chez nous. Ce couple n'avait pas d'enfants et j'étais pour ainsi dire, considéré affectueusement, un peu comme tel.
Mon précepteur, à la mort de mon père est logiquement devenu mon tuteur (puisque je n’avais plus d’autre famille). Durant toute mon enfance et jusqu'à sa mort il m'a enseigné les connaissances qu'il avait acquises à Salamanca, malgré les difficultés posées par mon hyperactivité qui ne pouvait être canalisée que lors des moments d'apprentissage de l'escrime, notamment « LA DESTREZA ». A ces moment-là je me voyais déjà, comme le Capitaine Alonso de Contreras, (dont le manuscrit a été perdu et dont Lope de Vega a fait connaître ses faits d’arme) ferraillant à tout va, affrontant mille dangers et écrasant quelques centaines de protestants anglais au passage !
Je me souviens particulièrement de cette journée du 23 octobre 1702, date de la célèbre bataille de Rande. Depuis les hauteurs de la Guia, où j'étais parti chasser le petit gibier, j'ai assisté à cette bataille, ou, invasion qui a commencé le matin de ce jour. La bataille navale qui s’en est suivi, les combats sur terres et la destruction de la flotte espagnole m’ont causé forte impression depuis les hauteurs où je m’étais caché. Mon destin s'en trouva changé, et je savais au fond de moi que je naviguerai et que mon destin se jouerai au-delà des mers surtout (un lien avec la terre de mes ancêtres venait de céder) lorsque j’appris à mon retour à Redondela que mon père était mort l’épée à la main, tué par la couardise anglaise (on lui avait tiré dessus). Depuis j’ai une certaine haine pour les anglais (que je contiens)et je n’hésite pas à leur faire payer, dans le mesure possible, la nationalité dont ils sont affublés, surtout s'ils sont orgueilleux.
Mes fréquentations nocturnes m'amenèrent vers des voies interlopes : J'appris des marins et des pêcheurs, leurs histoires, leurs mythes, et ils me transmirent un peu de leurs connaissances de navigation et les informations relatives à certaines activités peu recommandables liées au vol, au recel, et à la piraterie « non reconnue officiellement ». Mon précepteur est d'ailleurs mort soudainement, un matin, d'une crise cardiaque alors qu'il me sermonnait énergiquement sur ma dernière fugue nocturne et mes constantes mauvaises fréquentations. Paix à son âme !. Je me suis acquitté de mon devoir envers Félix en prenant soin de sa femme jusqu'à que celle-ci soit rappelée à Dieu.
A la disparition de la femme de Félix j'étais libre de poursuivre la voie toute tracée par mes ancêtres ou de continuer à me dévier de ma trajectoire sur un océan de possibilité.
A l'adolescence j'ai donc repris, de fait, la maison fortifiée (El pazo de Cedeira) de mes parents et les terres qu'ils possédaient. Felix avait bien fait son travail et mon destin de propriétaire terrien modeste était tout tracé.
2/Sur les mers :
A la fin de l’adolescence, vers 17 ans, pris de passion pour le jeu, je partais avec les revenus de mes terres vers la Coruna, où je m'y adonnais compulsivement (joueur invétéré +1pc) et mes bons résultats ne me décourageaient pas à poursuivre l’exercice de ma ludopathie. Les jaloux disaient que j'avais des « manos de cerdo » (mains de porcs)et j’étais devenu une curiosité nocturne dans le milieu du jeu.
Depuis la bataille de Rande je rêvais de pouvoir naviguer et je ne tardais pas à me faire engager comme mousse à bord de plusieurs petits voiliers contrebandiers où mes talents à l'arme blanche et mon savoir-faire administratif étaient très appréciés. C'est là qu'on m'a donné le nom de « Farrucco » (à cause des histoires que je racontais pour détendre l’atmosphère). J'y ai appris quelques techniques de navigation approfondis et surtout tout ce qui fait un bon négociateur des cargaisons légales ou illégales. Personne ne savais que j'étais d'ascendance noble mais plus d'un devait s’en douter et je pense que la plupart pensait que je cachais un secret infâme comme un parricide ou autre chose…
Au cours d'une de mes parties de cartes (mémorable à plus d’un titre) j'étais parvenu à gagner, au cours de la partie, quelques terres à mon riche voisin, l'hidalgo José Angrijano de la Mota, mais, malheureusement pour moi, s'apercevant de ma tricherie ll ne tarda pas à me provoquer en duel pensant m'arracher facilement (j'étais un jeune adulte) les terres que je lui avais prises au cours de la partie, et bien plus encore. Sans grande difficulté je recommandais son âme à Dieu le transperçant de part en part au bout d’à peine quelques passes d’armes. Les autorités (noyautées par plusieurs membres de la famille du défunt) m'obligèrent sous peine de confiscation de l’ensemble de mes terres, à me défaire d'une bonne parties de celles-ci en réparations financières à destination de la famille du défunt. Je dû le salut de ma personne à l'intercession de bons amis de mes parents, qui avaient quelque influence, ce qui me permis de garder la tête sur les épaules.
Les enfants de mon voisin, ses bâtards et sa nombreuse famille voulaient me faire disparaître (ennemi +2 pc) et je dû ruser pendant un temps et faire le nécessaire pour disparaître loin afin d’assurer ma sécurité. En partant je n’ai pas vendu ma maison (ce qui a grandement contrarié l'aîné de la Mota )et les terres restantes.
Avec quelques économies j'avais pu payer le voyage et aider aux manœuvres du navire qui devait me conduire, jusqu'à Cuba, pour changer de vie. J'avais l'intention d'acheter des terres agricoles, des esclaves et exploiter la canne à sucre pour revenir à Redondela couvert d'or. Mais pour cela il me fallait des capitaux et je comptais bien les acquérir grâce à ma connaissance du jeu. J'avais alors emprunté une forte somme (dette importante +2pc)à un marchand interlope local, Manuel Fraga Iribarne. Je m'étais mis alors à jouer, d'une façon molle (je faisais exprès de perdre de temps en temps) avec un certain nombre de tables de marins pour me faire connaître et avoir connaissance d'une grosse table et pouvoir démontrer tout mon savoir-faire. Le soucis fût que je perdis tout, malgré mes compétences ludiques et je pense que les autres autour de la table était tous de mèche, malheureusement je ne pouvais rien tenter contre eux tant leur réputation pouvait m'attirer moultes ennuis. Je me suis donc retiré la tête basse et retrouvé à Cuba sans le sou.
J'ai continué à jouer, et à trafiquer sur Cuba, pour survivre...jusqu'à récemment. J'y ai appris quelques bribes de français dans lequel je me perfectionnais rapidement
C'est à cette occasion que je connu « Carlito » et « el chucho » vers lesquels m'avaient envoyé mes ludiques détrousseurs, lorsqu'ils me virent accablé par mon impécuniosité. J'ai dû également faire bonne figure avec les anglais pour pouvoir apprendre leur langue afin de pouvoir commercer avec eux (et leur faire payer).
Religion : catholique, what else ?
PNJ :
Prêteur : Manuel Fraga Iribarne.
ennemi-José Angrijano de la Mota (fils aîné de celui que j'ai occis)
Receleur (receleur -3 pc)-Bernardo Rodriguez Maldonado dit « el chucho ».
Marchand (marchand -1pc)-Carlos Aguirre Guzman «Carlito »
Mes rêves :
Je souhaite pouvoir retourner à Redondela, rembourser mes dettes, retaper ma maison familiale où j’aurai une nombreuse descendance et écraser ces avortons de Angrijano de la Mota.
La bataille navale de la baie de Vigo, parfois appelée bataille de Rande, eut lieu le 23 octobre 1702 ou le 12 octobre (selon le calendrier julienencore utilisé en Angleterre à cette date) dans la baie de Vigo, au large des côtes de la Galice en Espagne. Elle mit aux prises une flotte anglo-hollandaise dirigée par l'amiral George Rooke, secondé par les amiraux hollandais Philips van Almonde et Philips van der Goes, avec la Flotte des Indes, un convoi franco-espagnol commandé par les amiraux François Louis Rousselet de Châteaurenault et Manuel de Velasco.
Rooke avait été envoyé en mission avec une flotte anglo-hollandaise de 49 navires pour s'emparer du port de Cadix, mais le 29 septembre 1702, tenu en échec, il se décide à retourner en Angleterre et fait relâche à Lagos (Portugal). Là, il apprend qu'un convoi espagnol, chargé de ramener en une fois toute la production des colonies américaines de l'année précédente, a quitté La Havane le 24 juillet mais, alerté du raid anglais, avait reçu ordre de détourner sa route de Cadix vers Vigo, qu'il avait atteint le 23 septembre.Décidé à rendre un peu de lustre à sa mission, Rooke fait voile immédiatement vers Vigo, où il tombe sur une escadre de 40 vaisseaux français et espagnols en train de décharger le fret. La flotte espagnole est composée de 20 vaisseaux ramenant leurs riches cargaisons des Indes occidentales commandée par Velasco, et de son escorte de 20 navires de la Marine royale française.Chateaurenault avait déjà organisé la protection du port en refermant la darse par des herses de mâts de navire qu'il avait donné l'ordre d'abattre ; l'entrée du port était couverte par des pièces d'artillerie en batterie depuis les forts de la ville et de l'île San Simón, non loin de Redondela.Pourtant, le 23 octobre, Rooke donne l'ordre d'attaquer, chargeant l'amiral Thomas Hopsonn (en), commandant le HMS Torbay, de forcer le barrage de mâts entassés et de faire débarquer le corps expéditionnaire du duc d'Ormonde afin qu'il s'empare des redoutes.L'affrontement se déroule dans la baie de San Simón où les Franco-Espagnols se sont abrités, pensant ainsi pouvoir se garder de toute tentative d'attaque de la part des Anglais.L'assaut est un succès total pour Rooke. Le Torbay parvint à forcer l'entrée du port, les batteries d'artillerie sont capturées, et finalement les vaisseaux français et espagnols sont incendiés sur place ou échoués : 12 des vaisseaux français sont détruits. Les Anglo-Hollandais s'emparant du reste de l'escadre (6 vaisseaux et deux frégates).
De la flotte espagnole, 11 navires sont détruits et 9 sont capturés. La flotte anglo-hollandaise ne perd aucun bâtiment. En revanche, le combat fait de nombreuses victimes de part et d'autre : on estime qu'il y a 2 000 morts et autant de blessés du côté franco-espagnol, et 800 morts et 500 blessés du côté anglo-hollandais. Les vainqueurs récupèrent 14 000 livres de butin (près de 3 millions de livres avaient déjà été déchargés par les Espagnols avant l'assaut). En reconnaissance des services rendus, Rooke est nommé gouverneur de Gibraltar (1704).
Dernière édition par Dub (Guillaume) le 2020-02-24, 08:02, édité 3 fois
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Re: MJ only
Blam - Deitrich Koning
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- Origine culturelle : ‘Allemand’Origine sociale : ArméeEnfance : RebelleAdolescence : SolitaireProfession : VigieReligion : HuguenotAvantages :EscrimeFaiblesses :Recherché (déserteur de l'armée Prussienne).3 pts
Mission (retrouver son frère et les œuvres d'art). 2 ptsPNJs (d’importance) :Weber Kuning (frère)
Armand de la fleur (noble et escroc)
Évêque Dominique Mamberte
(Commanditaire pour retrouver les œuvres d'arts lier au culte)
Né en 1687 en Prusse de famille modeste et de père Militaire , il a vite été mis au pas par son père pour devenir un bon petit soldat et cela permis à Deitrich de pouvoir être très vite repéré par ses supérieurs pour rentrer dans l'unité d'élite que sont les grenadiers de la garde , après quelques années dans la garde son père mourut et ainsi Deitrich devint le garant de la famille et ainsi eu la charge de l'éducation de son jeune frère (Weber Koning) ,celui a l’âme poète et artistique et Deitrich réussit à le placer dans le musée national de la capital .Les années passant tout allait bien dans le meilleur des mondes , mais en l'an de grâce 1713 le roi de Prusse s'éteint et son fils Frédérique 2 pris la succession et là il mis en place une politique anti-artiste et des arts en général , là un jour ou des huissiers était venus pour confisqués des œuvres d'arts au musée national pour les vendre à de riches marchands Weber commis un acte irréparable en tuant un huissier et vola une grande parties des œuvres du musée , son frère en fuite Deitrich ne put que déserter l'armé pour essayer de le retrouver, après de multiples aventures il retrouva sa piste en France ou là un Noble du nom d'Armand de la fleur (mécène des arts et des lettres ) avait pris sous son aile le jeune Weber , mais en réalité cette Armand s’est révélé n’être qu'un escroc qui s'envola avec les œuvres d'arts , après quelques semaines de recherche infructueuses , un homme L’évêque Dominique Mambertie pris contact avec eux pour demander leur aide pour retrouver cette Armand qui a aussi voler des objets du culte.Indiquant que cet escroc était parti vers les Caraïbes pour vendre les œuvres d'arts loin des circuits habituels , Deitrich refusa d'aller au bout du monde poursuivre l'escroc , mais son frère lui n'hésita pas et parti sans le prévenir et c'est que quelques semaines plus tard n'aillant pas de nouvelle de son frère que Deitrich contacta l’évêque pour avoir des renseignements sur l'itinéraire de son frère et ainsi parti lui aussi a la poursuite de l'escroc en espérant qu'il ne soit rien arrivé à son frère .
Dernière édition par Dub (Guillaume) le 2020-02-03, 08:08, édité 1 fois
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Re: MJ only
Cyril - Joseph dit ‘La Mare’
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- Origine culturelle : Créole (Français)Origine sociale : ColonEnfance : RebelleAdolescence : Sur la merProfession : VigieReligion : CatholiqueAvantages : escrime non noble (-6)Faiblesses : Dette importante (+2)Joueur invétéré (+1)PNJs (d’importance) :Françoise chatelain de cressy
https://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7oise_Ch%C3%A2telain
Augustin Panon
https://fr.wikipedia.org/wiki/Augustin_Panon
Alexander Dalzeel (1662-1715)
Fut capturer 4 fois avant d'être arrêté puis condamné à être pendu.
S'est lier d'amitié lors d'un transfert de prisonnier et a aidé à son évasion.
https://en.wikipedia.org/wiki/Alexander_Dalzeel
Provenance des iles Boubons (la réunion).
Colons
- Père : Augustin Panon "menuisier charpentier".
- Mère : Françoise chatelain de Cressy "mère au foyer"
- Frères et sœurs : trop nombreux
Rebelles
Trop de frères et sœur, père dépasser par ses responsabilités, premier béguin pour une esclave d'une autre exploitation.
Sur la mer
Après une énième dispute avec le père, s'est enfui sur le premier navire en partance avec son vieux mousquet comme mousse.
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Re: MJ only
Damien - Henri Lequeste
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- Origine culturelle : Créole (Français)Origine sociale : ArméeEnfance : TurbulenteAdolescence : RebelleProfession : Maître d’armeReligion : CatholiqueAvantages :Faiblesses :PNJs (d’importance) :Officier de l'armée royale de Fort Louis de la Mobile (Alabama).
Son oncle, marchand à Biloxi (Louisiane)
Un responsable de Saint-Domingue (Hispaniola).
Fils d'un compagnon de Pierre Le Moyne d'Iberville.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Le_Moyne_d%27Iberville
Il voit le jour en Louisiane, fils d'un soldat royal.
Son père souvent absent il vécut une enfance turbulente et une adolescence rebelle.
En raison de son don pour les arme il devient maitre d'arme dans l'armée de sa majesté.
Il finit par quitter l'armée, ne souhaitant pas renouveler son engagement.
Il embarqua à bord d'un navire.
Contacts
Un officier de l'armée royale en poste à Fort Louis de la Mobile, ancien supérieur de son père.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Fort_Louis_de_la_Mobile
Son oncle, un marchand de Biloxi.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Biloxi_(Mississippi)
Un responsable de Saint-Domingue, ils se sont connus pendant son engagement, ils ont fait du marché noir ensemble.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Compagnie_de_Saint-Domingue
https://dochub.com/dertyuiop2000/3NQVPP/209-pn2-feuilles-de-personnage-v2-editable-pdf?dt=NzBEE-Fj9_2fx3Z67AmK
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Re: MJ only
Dub (MJ) - Issa Sangare
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Faiblesses
Oreille tranchée (+1 PC)
Malus : -1 (Séduction)
Crâne déformé (+3 PC)
Malus : -3 (Séduction), -1 (Comédie)
Esclave marron (+3 PC) [Lieu de fuite =
Sur la côte de l’actuelle Venezuela, non loin de Grenade et Trinidad et Tobago]
Ennemi (+1 PC) = le Marin ‘sadique’
Service dû (+1 PC) = L’indigène qui m’a caché
Avantages
Baragouin (-3 PC)
HistoriqueNé sur la côte Ouest Africaine dans un petit village de pêcheurs, j’ai très vite aidé la communauté pour la survie du village. Tout d’abord à la maison avec les femmes durant ma prime enfance ; puis en grandissant dans le village ou j’aide les travailleurs du bois, les champs et enfin sur le bateau du village pour la pêche.L’adolescence m’a vue développer un physique impressionnant et le chef a décidé de me former pour que je devienne un Guerrier lors de mon passage à l’âge adulte.Je n’ai malheureusement jamais eu l’occasion de faire les rites ancestraux car un Roi ennemi a fait un raid nocturne sur le village afin de vendre des esclaves aux blancs. J’ai fait ce que j’ai pu en me battant mais n’ai fait que récolter une vilaine blessure à la tête.S’en suit une longue semaine entre la vie et la mort, suivant les captifs qui s’occupent de moi. Nous sommes rapidement mêlés à des prisonniers d’autres villages puis achetés et transféré sur un bateau. La traversée est horrible à tous les niveaux, d’autant plus avec le marin qui vient dans la cale toutes les nuits afin d’humilier les hommes et de profiter des femmes, je me rappelle encore son nom et sa trogne …Malgré ces conditions, je fais parti des survivants à la sortie de la cale lors de notre arrivée aux Caraïbes. C’est là que je vais perdre contact avec le peu de personnes encore vivantes qui ont été enlevées dans mon village lord du raid.Ma carrure et mes compétences me font être acheté par un colon Français qui exploite les essences rares de bois des Indes Occidentales. Je voyage donc avec lui de ci de là pour trouver de nouvelles espèces de bois et apprendre leurs propriétés en les travaillants. Ma relation avec lui, sans être amicale, est respectueuse.Bien que plutôt bien traité, je vais tout de même profiter d’une occasion pour fuir à travers la jungle et chercher ma liberté. Ce n’est qu’avec l’aide d’une indigène qui m’a caché de mon ‘acheteur’ que j’ai pu m’en sortir. Je me cache depuis et essaie de m’éloigner au maximum de mon lieu de fuite.
Personnes d’intérêt
Le colon qui m’a acheté : Agrippa DuPuy
L’indigène qui m’a caché : Ka Ya (Arawak / Kali’Na)
Le ‘sadique’ du navire de ‘bois d’ébène’ : ‘Petit’ Jules
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Re: MJ only
Eric - Lorenzo da Sconese, dit "le peintre"
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- Origine culturelle : ItalienOrigine sociale : BourgeoisieEnfance : Sur la merAdolescence : AmoureuseProfession : Peintre de MarineReligion : CatholiqueAvantages : -Faibleses :Esclave affranchi (-1)En fait, c'est plutôt "esclave évadé" des barbaresques. Je peux avoir une marque pour cela, je pense, sur l'omoplate (ce qui donnerait plutôt le désavantage "marque de reconnaissance")Recherché par les autorités (-1)D'Algers et de RomeEnnemi (-2) : Muhammar Ib, KhaledLe fils de mon propriétaire. On a naviqué ensemble, fait les pirates en méditerranée, mais le fait que j'ai égorgé son père sous ses yeux a dû refroidir notre amitié...PNJs (d’importance) :Tommasso ViaggiQui a probablement fait quelque piraterie en son temps, s'est sans doute retiré dans les caraïbes après un dernier voyageWilliam FawlkesSert probablement dans la marine royale de sa majesté le roi d'Angleterre, envoyé là par son père pour lui forger le caractère et le disciplinerMuhammar Ibn KhaledEst désormais libre d'assouvir sa soif maritime, voire de revancheL’enfance 1690-1703Il nait en 1690 à Sconese, en Toscane, de parents appartenant à la petite bourgeoisie. Le père est marchand et navigue souvent en méditerranée. Destiné à prendre la succession de l’affaire familiale, il remplit parfois les fonctions de mousse à bord du navire marchand et reçoit également des rudiments de calcul et d’écriture.C’est un vieux loup de mer, Tommasso Viaggi, qui l’instruit des bases de la navigation. L’homme est un ancien bourlingueur, ancien négrier ayant fait le commerce triangulaire mais également ayant participé à quelques missions d’exploration et de découverte sur des navires hollandais où il servait comme peintre de marine. Il lègue d’ailleurs au jeune Lorenzo quelques couleurs, un goût pour la peinture et des histoires fantastiques sur des expéditions lointaines et des trésors enfouis.L’adolescence 1703-1707Envoyé dans un collège de Rome, il s’y ennuie ferme mais développe un goût pour l’art et plus particulièrement pictural. Profitant de la distance, des voyages paternels, il réoriente clandestinement ses études vers la peinture.Il se lie d’amitié avec William Fawlkes, un nobliau anglais accomplissant son Grand Tour (sorte d’année sabbatique où un jeune noble, accompagné de son précepteur, visite les différentes capitales européennes pour parfaire son éducation).Les deux jeunes gens deviennent proches et William prolonge même son séjour, jouant les modèles pour quelques essais de tableaux. Mais le scandale éclate quand ils sont surpris dans une position plus que compromettante dans l’atelier du maitre d’Art.Lorenzo ne veut pas affronter la colère paternelle, pas plus que William, le scandale. Ils s’enfuient donc, plantant là le précepteur, et profite des opérations militaires du début de la guerre de succession d’Espagne pour semer leurs poursuivants et arrivent à Naples.Naples 1707-1708Ils épuisent là les économies de William. Pour gagner de l’argent, Lorenzo se fait entretenir (se prostitue) par une veuve de Naples, Dame Erguezzi, officiellement pour lui exécuter son portrait.C’est ainsi qu’il rencontre le fils de la veuve qui a à peu près son âge mais de caractère beaucoup plus timide, Angelo, qu’il présente à William et dont ils tombent tous deux amoureux. Les deux compères séduisent le jeune homme et décident de se le partager. Mais après quelques temps, la jalousie, la lassitude envenime les choses et l’arrivée du précepteur précipite le drame. William décide de rentrer mais veut emmener Angelo avec lui. Lorenzo ne l’entend pas de cette oreille et ils finissent par se battre à l’arme blanche, chacun tenant un poignet d’Angelo. La maitrise des armes de l’anglais étant meilleure, il offre en premier lieu une balafre à Lorenzo qui, pour éviter le coup au cœur, n’a d’autre choix qu’exposer Angelo en protection. Ce dernier s’écroule alors agonisant, percé de part en part. Les deux ex amants restent interdits un instant. Reprenant le premier ses esprits, Lorenzo saute par la fenêtre.Bientôt pourchassé par les milices (William utilisant son nom et la complicité de son précepteur pour se dédouaner) Lorenzo embarque clandestinement dans le premier navire quittant le port. Vite découvert en mer, il est houspillé, assigné aux tâches les plus dures et violé par quelques marins lassés du mousse. Cela ne dura pas : une felouque barbaresque prend le navire en chasse, tue la moitié de l’équipage et vend l’autre moitié – dont Lorenzo – sur le marché d’Alger.L’esclavage 1708-1713Le travail de force, le fouet, l’évasion manquée et encore le fouet lui forgent le caractère. Ce n’est qu’au bout d’un an que son maître, le voyant dessiner un navire avec un tesson de terre cuite, trouve plus profitable de l’employer à des peintures et des fresques et le charge de décorer la demeure du maitre sur les hauteurs dominant la mer.Il se rapproche de la famille, notamment de Muhammar Ibn Khaled, le fils ainé, qui aime à écouter les histoires maritimes de Tommasso, racontées par Lorenzo. Ce dernier essaie de le séduire en espérant se ménager ainsi une ouverture vers sa liberté mais rejetant ce type de relation, Muhammar, aidé par quelques serviteurs, met les choses aux poings (!) – non sans recevoir lui-même quelques horions en retour. Muhammar, toutefois, ne lui en tient pas spécialement rigueur par la suite, considérant ce vice comme inhérent aux roumis et devant simplement être réprimé s’il se faisait jour.Muhammar ‘’demande’’ à Lorenzo de lui apprendre les rudiments de la navigation en échange d’une amélioration de ses conditions de détention. Ils utilisent une embarcation pour effectuer, avec quelques compagnons de Muhammar, de nombreuses sorties en mer. Muhammar ajoute alors 1 ou 2 coquins, marins expérimentés, et monte sa petite entreprise de piraterie barbaresque, emmenant Lorenzo avec lui. Lorenzo participe d’autant plus activement que Muhammar envisage de lui rendre sa liberté s’il se convertit à l’islam.Mais tout cela agace le chef de famille qui considère cette activité trop risquée et qui finit par y mettre le holà. Il décide d’embarquer toute sa famille pour rejoindre Alexandrie où il compte vendre Lorenzo à une de ses relations cherchant un peintre, car il lui reproche d’avoir farci la tête de son fils avec ses stupides histoires maritimes. De là, ils continueront vers la Mecque pour le pèlerinage.Muhammar peut bien protester, rien ne fait changer le patriarche d’avis.Mais la rencontre opportune avec une galère de l’ordre de malte vient changer la donne. Provoquant un incendie, Lorenzo profite de la confusion pour tenter de s’échapper mais son maître tente de le retenir et l’italien doit casser la tête du vieil homme sous les yeux de ses enfants – Muhammar y compris – avant de plonger vers la galère providentielle.Recueilli par les chevaliers mais ne désirant pas que l’on fasse le lien entre lui et l’assassin de Naples, il prépare son départ vers un endroit le plus éloigné possible.
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Hervé - Thomas Geheim
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- Origine culturelle : ‘Allemand’Origine sociale : ArméeEnfance : RebelleAdolescence : AutoritaireProfession : Officier ou sous-officier de CavalerieReligion : HuguenotAvantages :Escrime non Noble – Sabre (-5PC)
PNJs (d’importance) :Hans Fredrich
Karline Von Straubsau Sous-Officier de l’armée Prussienne
River Stall Ami de ‘galère’
Sous-officier Français (Tué par accident)
Enfance tranquille dans petit manoir de province, adolescence au service d'un officier de l'armée Prussienne, durant ses années sous les drapeaux tue accidentellement un sous-officier "allié Français" lors d'une bataille ce qui lui vaut un transfert dans les cachots Français et le bagne vers la Guyanne car ça fait toujours du bien le bagne en Guyanne.Durant son séjour dans les geôles il se lira d'amitié avec quelqu’un.Le bateau sera attaqué durant le voyage et une nouvelle vie s'offre à lui ...
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Kirill - Don Esteban de la Ciudad
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- Origine culturelle : EspagnolOrigine sociale : NobleEnfance : StudieuseAdolescence : AmoureuseProfession : NobleReligion : CatholiqueAvantages :Noble (Gentilhomme)Mandat de la compagnie des Indes orientalesFaiblesses : -PNJs (d’importance) :Amalia
Vincente Algardo
Garcia Rodrigues
Don Esteban de la Ciudad est un jeune homme, qui est l'aîné d'une famille marchande dont les ancêtres ont fait fortune grâce à l'exploitation de plantations de sucre à Hispaniola (Haïti, aujourd’hui). Il est né en Espagne, est allé faire des études étant enfant chez les Jésuites, puis on l'a envoyé vivre à Hispaniola. Là-bas, il est tombé amoureux d'une esclave d'origine antillaise. Il est ensuite venu à Madrid, à la cour du Roi d'Espagne (ce doit être Philippe V le Brave, 1700 - 1724), où il a reçu du Roi une lettre de mission (…)L'esclave antillaise : elle n'est pas amoureuse, mais sait que le PJ est amoureux de lui. Elle essaie de tourner à son profit cette situation.Un jour, à 15 ans, alors que Don Esteban de la Ciudad était dans la maison de son Père à Hispaniola, on amena pour les juger des esclaves qui avaient tenté de s'enfuir de la plantation et avaient tué des gardiens. Il y avait plusieurs hommes, et une jeune fille avec eux (13 ans). Elle s'appelait Amalia. Don Esteban eut le coup de foudre. Le père de Don Esteban décida de faire exécuter tous les rebelles pour l'exemple. Mais Don Esteban demanda la grâce de la jeune fille, arguant qu'elle était encore trop jeune, et qu'elle ne savait pas ce qu'elle faisait. Le père de Don Esteban regarda son fils, étonné, mais il consentit à accorder la grâce à Amalia.Amalia avait bien compris que Don Esteban était amoureux d'elle. Elle, elle n'était pas amoureuse de lui, mais elle décida de tirer profit de la situation…Un Professeur jésuite : ce professeur est en fait le tuteur du PJ. Il a fait son éducation, lui a transmis ses connaissances, et a commencé de lui apprendre à se battre.Il s'appelle Vincente Algardo. C'est lui qui a été en charge de l'instruction de Don Esteban de la Ciudad, alors que celui-ci, encore enfant, était chez les jésuites en Espagne. Ça se passait avant qu'il ne parte à Hispaniola. Un jour, sur le galion qui les emmenait d'Espagne à Hispaniola, Des pirates attaquèrent le galion. Don Esteban, apeuré (il n'avait alors que 10 ans) se cacha dans sa cabine. Vincente Algardo, voyant cela, décida qu'il était temps que le jeune garçon apprenne à se battre. Il lui apprit les rudiments du combat, puis plus tard le confia à un maître d'armes pour parfaire son entraînement, tout en continuant son instruction.Garcia Rodrigues, le capitaine du galion sur lequel mon PJ était quand il avait 10 ans.Ce serait lui qui aurait sauvé la vie de Don Esteban et de son tuteur, et qui aurait aussi appris à Don Esteban à se battre, avec Vincente Algardo. Il leur a alors sauvé la vie à tous les 2.Le Roi d’Espagne : lien de vassal à suzerain, lui donne une mission.Alors, en 1714, Don Esteban a 20 ans. Son père le renvoie en Espagne, à Madrid, pour se présenter devant le Roi. Après un long voyage, il arrive au palais du Roi, doit d'abord assister à une messe, puis il va dans la salle du trône présenter ses hommages. Le Roi lui dit que ses galions en provenance d'Amérique sont attaqués par des corsaires et par des pirates. Il lui confie la mission de monter sur un galion et de défendre le prochain convoi qui reviendra des colonies.
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Léo - Hatuey
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- Origine culturelle : Arawak TaïnosOrigine sociale : Fils de CaciqueEnfance : LaborieuseAdolescence : Sur la merProfession : VoleurReligion : TaïnosAvantages :Allié Aventurier (Guaiapi) -7 ptsBaragouin -3ptsFaiblesses :Esclave Marron +3 ptsEnnemi (Mathieu de Bonneville) +2 ptsLe veut vivant pour accéder au mythe/légende du trésor Arawak.PNJs (d’importance) :YucalamexGuaiapiMathieu de BonnevilleNé en 1689 dans la province de Las villas (Province de Santa Clara à cuba) au village de Guanabacoa , communauté de Tainos libérée de l'esclavage en 1542 par un édit de Charles Quint, le village a grandi à proximité d'un fort Espagnol. Au fil du temps la communauté initialement composé d'une 60 aine d'âmes avait atteint un millier d’habitants, son père Yucalamex était le Cacique (chef) de sa tribu, mais cela ne valut pas pour autant une enfance confortable au petit Hatuey, nommé d'après une figure de son peuple, la culture du manioc, la pêche, les altercations avec les colons espagnol lors de troc se terminant parfois par des mises en esclavage en cas de conflit avéré furent son quotidien. Il était le 19 -ème enfant de son père qui comptait 8 épouses ; seule privilège du Cacique pour assurer une lignée de Guare (autre nom des chefs) à la tribu. Son père était très attaché à la tradition, il conservait précieusement ses statuettes de pierre taillée aux visages grimaçants appellés Zemis qui étaient les dieux incarnés aussi bien que les valeureux ancêtres, hérité de générations de cacique en générations, il assurait la continuité de la culture Tainos, ces étranges objets créaient toujours l’amusement, la fascination, ou la peur chez les colons. La pratique religieuse rigoureuse du Bohique (chaman) du village et de Yucalamex et leurs interprétations que les Européens étaient des envoyés de Guabancex déesse des ouragans du chaos, de la destruction et du changement, jumeau jaloux de la création du dieu tutélaire Yúcahu Bagua Maórocoti celui qui offre le manioc dirige la mer et qui n'a pas de père. Plusieurs contacts avec d'autres indiens rester hors du joug espagnol eurent lieux et ce jusqu'a d'autres iles, la résistance grondait, des contacts avec des esclaves en fuite furent entrepris, le village leur apportait une protection discrète, jusqu’à ce que les espagnols remarquent le manège et punissent sévèrement l'affront. Alors que Hatuey n’avais que 10 ans il vit l'ensemble de ses frères et sœurs massacrés et un tiers de son village réduit en esclavage ou exécutés pour trahison. Il a été gardé vivant pour être pris en otage, afin de contraindre son père a imposer une vie paisible a sa tribu, après avoir de nouveau remis les croix et juré qu'on était un chrétien, digne donc de ne pas être esclave, les cultes reprirent, les colons, ne connaissaient pas la grotte souvent semi sous-marine ou les rituels de la cohoba se déroulaient. Le petit Hatuey n'oublierait jamais le pouvoir des plantes et la cruauté des Espagnols.Parti sur différents bateaux, il fut bringuebalé d'ile en iles et de côtes en côtes, au début pour les Espagnols. OI l'utilisait pour prendre contact avec les différents indigènes, il parcourait des mois durant la jungle avec des colons avant de repartir sur mer. Les indiens attaquaient rarement à vue les enfants, parfois les colons négociaient, parfois Hatuey servait juste d’appât pour exposer les guetteurs des tribus et il entendait juste les balles siffler à ses oreilles avant de voir ses semblables s’effondrer, traitre malgré lui... Au bout de 5 ans il avait acquis les compétences d'un marin. En 1704 en pleine guerre de succession d'Espagne il fut récupéré lors d'un combat naval par des français, alors que la encore la plupart de ces compatriotes marins décédaient dans l'assaut.Les six ans qui suivirent furent aux compte de "la compagnie française des indes occidentale" (Ferme d'occident du point de vue administration, elle ne garde l'ancien nom que pour le prestige),afin de trouver de nouvelles plantes pour les botanistes qui irait à la cour du roi ou tout simplement pour transporter des esclaves ou de la marchandise il fut de nouveau balloter dans tout le territoire de la nouvelle France , de saint Domingue jusqu'au canada en passant par la Louisiane , affinant ses compétence de marin pour finir a un poste de vigie, Quelques rare escale à l'ile de la tortue ou il resta marqué par les grande fête qui s'y déroulait et ou tout marin y était bienvenue faire renaitre un esprit de liberté... Il décida, alors âgé de 21 ans, de tenter sa chance. En arrêt dans un port récemment français, Bayaha , il décide de jouer de la proximité de la frontière espagnole et de la frilosité des soldat a le poursuivre dans la jungle pour s'enfuir. Après avoir jeté à la mer les chaussures des quelques membres de son équipage susceptibles de le suivre, il s'enfuit dans la jungle. Il finira par trouver des communautés de boucanier Nègmarrons avec lesquelles il passera les 4 années suivante et trouvera l’amour.GuaiapiC'est un homme sage et pacifiste ainsi qu'un commerçant averti, il a su maintenir la culture de son peuple vivante, tout en intégrant un certain nombre de pratiques, vêtements, nourriture des européens, le fait que des jeunes gens aient interprété ses transes et celles de son Bohique et leurs vision des européens associé à Guabancex comme un appel à la guerre l'a profondément meurtri, il a vu ses enfant abattus sous ses yeux impuissant suite à leur révolte, il a su calmer son peuple pour éviter un plus grand massacre et veille à ce que les Taïnos et les colons cohabitent paisiblement, il a appris leur langue (espagnol) et veille à l'enseigner à sa tribu. Il a toujours été non-violent, et vois la colère de son fils comme mauvaise pour lui, même si bien sûr il l'accueille toujours à bras ouverts, cela fait 10 ans qu'il ne se sont pas vu. Le Viel homme a sans doute maintenu des rapport pacifiste et continué de voir des mariages mixtes dans son village. "La volonté des Tainos ne peut pas être brisée s’ils n’oublient pas leur origine, si le fusil triomphe sur la petite lance, le barbacoa triomphe sur la viande salée et le hamac sur la couverture, laisse la nature suivre son cours et elle épargnera ceux qui ne l'ont pas oublié. Il faut deux jumeaux pour faire un tout. Tous les hommes sont des tainos, les Zemis nous rappellent que l'inanimé est plus important que l'animé. Soit patient mon fils."YucalamexLa femme de Hatuey, esclave libérée, elle est aussi farouche combattante que lui au fusil et passa sa vie dans la boucane, elle est née à Hispaniola et a permis à Hatuey d'en découvrir les sites importants de son peuple tandis que ce dernier lui a permis de renouer avec les traditions passées, ils sont à peine une 20 aine de tainos dans leur communauté de près de 500 boucanier, majoritairement des nègres marrons. C'est une femme farouche, qui voue une haine profonde aux colons, elle évoque peu son passé d'esclave, elle est née esclave et s'est enfuie enfant avec un groupe de nègres marron, elle a redécouvert les sites de son peuple a force de voyage et de questionnement. Elle fait bien attention à ne pas avoir d'enfant, ce qui déplait fortement à Hatuey car en tant que fils de Cacique il espère avoir une longue lignée, mais il aurait bien du mal a vraiment s'emporter contre celle qui lui a permis de se sentir chez lui, néanmoins il réfléchit a trouvé d'autres femmes, il y'a l'amour et il y'a le devoir lui dit il souvent. Lorsque Hatuey est arrivé elle était telle une amazone a la tête des femmes locale leur apprenant à se battre et à défendre leur vie." Hatuey, tu vois le casque qui dépasse là-bas ? Vise juste en dessous... 1... 2... 3... FEU ! Bravo mon amour ! * Nouveau coup de feu * ce maudit ne nous embêtera plus ! * Rire*"Mathieu de BonnevilleFils d'un apothicaire français ayant fait fortune et devenu armateur, c'est lui qui a négocié avec le capitaine la survie de cet enfant ‘prometteur’. Il a une certaine aura pour Hatuey vu qu'il l'a sauvé des Espagnols et l’a pris à son service. Hatuey le connais mal mais se rappelle des mets délicieux dans sa cabine. C’est un bon chrétien, très intéressé par la connaissance des plantes des Taïnos au point d'écrire tout ce qu'a pu lui raconter Hatuey. Le fait qu'il laisse beaucoup de liberté à Hatuey a sans doute contribué à son espoir d'une évasion. Hatuey allais sans doute lui parler d'un site très important pour les plantes qu'il avait découvert avec les Espagnols, mais il a pris ses jambes à son cou avant cela ! Le capitaine de vaisseau donnerait sans doute cher pour capturer à nouveau le jeune Indien."Buvez, je vous en prie buvez Hatuey, et continué votre histoire, nous nous en réjouissons grandement! Connaissez-vous un proverbe de chez moi ? Répéter donc : On n’attrape pas les mouches avec du vinaigre... *Rire* Charmant, votre français ferait rougir beaucoup de rosbeef et d'espinguoin vous savez ! Ou en Eetion nous alors, vous me disiez qu'au troisième cap après avoir dépassé le Yucatan, en vue de l'état de Campeche il y'avais une avancée d'eau dans les terre ...".
Dernière édition par Dub (Guillaume) le 2020-02-03, 12:30, édité 3 fois
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Ninja - Juan 'la balance' Fernandez
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- Origine culturelle : EspagnoleOrigine sociale : NobleEnfance : ChoyéeAdolescence : TurbulenteProfession : SpadassinReligion : CatholiqueAvantages :Faiblesses :PNJs (d’importance) :Maria cerveza Prostituée dans un bordel des caraïbes
Antonio Hernandez Maître d'arme de mon père.
Joao Fernandez Mon père, un noble marchand plein aux as (Epices ET trafique).
Le jeune Juan est né en castille d'un père noble marchand. Depuis tout petit il se baladait dans les faubourgs et aimait filouter. Sont père avait beau le former à l’étiquette, il ne s'intéressait qu'a l'escrime et aux arts de rue. Jusqu’au jour où il partit en mer avec son père. Encore là il s'accoquina avec les marins malgré le mépris de son père. Juan passait son temp à glander, boire, baiser quand ils arrivèrent dans les caraïbes. Une prostituée s'est ‘éprise’ de sa douceur et de ses beaux mots et surtout de la correction qu'il mit à un de ces type un peu car un homme ne bat pas les femmes. Hélas cet homme est mort et n'était pas n'importe qui. Mon père furieux me convoqua et me fit battre puis après des jours de trou il déclara que j'étais mort (ce qui était vrai à ses yeux). Son statut social lui permis grâce à des contacts de me faire engager sur un bateau ; et là commence ma nouvelle vie ...
Dernière édition par Dub (Guillaume) le 2020-02-03, 12:29, édité 3 fois
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Philippe - Jean Henri Verneuil dit « La Roche »
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(Batard de Henri Roger de La Rochefort)
Origine culturelle : FrançaiseOrigine sociale : BourgeoisieEnfance : Autoritaire
Adolescence : AmoureuseProfession : Chef de pièceReligion : HuguenotAvantages :Escrime : (-3)Arme de Qualité : trempée, équilibrée (-1)Argent : 50 pièces de huit (-1)Contact : Capitaine Pierre le Moyne (- 2)Contact Receleur (-2)Faiblesses :Ennemi 1 : le Marquis de la Rochefort (+5)Ennemi 2 : le fils du Marquis de la Rochefort, Louis le demi-frère- (+3)Persécution religieuse : Huguenot (+1)PNJs (d’importance) :Henri Roger de La Rochefort Marquis de Liancourt
Louis François de La Rochefort
Pierre Le Moyne d'Iberville Capitaine du vaisseau « La Renommée »
Jean Henri Verneuil est né dans la belle ville de la Rochelle, d’un père marchand décédé tôt et d’une mère Gouvernante auprès Henri Roger de La Rochefort, Marquis de Liancourt.Eusèbe était un riche marchand qui se déplaçait à travers l’Europe et lors d’un de ses déplacements s’était converti aux thèses de Luther. Lors d’un diner mondain organisé par le Marquis, pour faire venir des investisseurs et marchands, ce dernier tombe sous le charme exquis de Marie Henriette.Cette dernière fort belle et instruite avait pris la succession de sa mère auprès de la famille de La Rochefort.Le Marquis s’était épris de Marie Henriette mais son rang interdisait toute relation avec elle de manière durable, et surtout visible. Il vit dans les tentatives de séduction d’Eusèbe une façon de solutionner son problème et de continuer ses coucheries en attendant l’arrivée d’une Dame de La Rochefort.Tout en promettant à Eusèbe des contrats intéressants, et vu que ce dernier était amené à se déplacer souvent pour ses affaires, cela convenait fort bien au Marquis. Quand a Eusèbe il vit l’opportunité d’accéder à l’oreille du Marquis pour le convertir aux thèses de Luther et d’attirer dans ses bras Marie Henriette.Malheureusement pour Eusèbe la graine était plantée, le mariage avec Marie Henriette fut célébré. Eusèbe eut à peine le temps de connaitre sa femme de manière charnelle, et de la convertir aux thèses de Luther. Le Marquis par un habile stratagème lui fit croire à sa conversion et fit passer sous silence sa faute. Mais le Marquis le dénonça aux autorités et provoqua sa mort. Eusèbe comprit trop tard le piège que lui avait tendu ce dernier.Néanmoins Henri Roger de La Rochefort use de son influence pour garder Marie Henriette en vie ainsi que le bébé à naitre. Afin de le préserver de la honte de son père huguenot, ce dernier reçoit le nom de famille de sa mère.Quelques temps plus tard, Henri Roger de La Rochefort épouse en secondes noces Charlotte Françoise qui lui donna deux enfants : une fille prénommée Claude Catherine et un garçon Louis François.Très tôt, Jean Henri apprend quelle est sa place même s’il est élevé avec les deux autres enfants. Regardé avec dédain et mépris par Henri Roger, il reçoit néanmoins une éducation par sa mère et le droit d’assister aux cours prodigués par les professeurs qui viennent à la maison éduquer les enfants du Marquis. Sans compter que la petite Claude l’aide énormément en cachette. Il gagne même le droit de regarder les cours d’escrime et de servir de « mannequin » à Louis François. Bien sur les duels épée en bois contre sabre en bois ne sont pas en faveur de Jean Henri.Condamné à fuir l’âge de seize ans à cause d’une petite histoire amoureuse avec Claude car surpris par Louis François à cette occasion, avec l’aide de sa mère il parvient toutefois à se réfugier sur un navire en partance pour les Antilles. En effet, cette dernière lui apprend que son vrai père est le Marquis et lui fait comprendre l’étendue du désastre. Le voyage aller-retour devait durer 8 mois et promesse est faite avec Claude qu’elle attendra son retour en attendant que la situation se calme, car le père Henri Roger est furieux.Toujours à la recherche de main d’œuvre, expérimentée ou non, le navire l’a immédiatement inscrit sur le rôle d’équipage. Il a ainsi rejoint le vaisseau « La Renommée » sous les ordres du Capitaine Pierre Le Moyne d'Iberville.Contre toute attente, Jean Henri s’adapte particulièrement bien à cet environnement difficile. Marin moyen, il montre toutefois de grande disposition pour l’artillerie. Au fil des batailles livrées, devenu servant de pièce, il trouve enfin sa place dans le navire et se fait remarquer par le Second Samuel Bernard et le Capitaine. Il met à profit ce temps pour améliorer son escrime et utilise son érudition pour discuter littérature et faire des parties d’échecs avec le Capitaine, même s’il se fait très régulièrement battre. En effet Henri Roger lui avait malgré tout expliqué les rudiments de jeu de Nobles. Il goûte alors la reconnaissance et le respect qu’il n’a pas eu dans sa jeunesse, même si la discipline est très stricte.Pendant tout ce temps, Jean Henri reste rattaché au souvenir de sa belle au moyen d’un caillou qu’il avait conservé depuis tout gamin. Un soir de beuverie, une confidence donnée sous l’effet du rhum, fait connaitre le début du nom de famille de celle auquel il pense tout le temps et qui deviendra son surnom : La Roche.De retour après 11 mois de mer (au lieu des 8 prévus), Jean Henri apprend de retour à la Rochelle que Claude est mariée au Marquis de Passy depuis peu et habite maintenant avec lui dans sa demeure près de Paris. Sa mère est également auprès de Claude.Il ne reste alors au Manoir de Liancourt, qu’Henri Roger et son fils Louis François. Après une dispute avec Henri Roger, Louis François souhaite donner une correction à Jean Henri et propose un duel au premier sang. Sabre et dague contre épée se déroule dans le jardin, et il n’y a plus de jeu, plus de limites. Le style peu académique et brutal appris lors de la traversée vient à bout de Louis François mais la victoire est amère.Henri Roger le fait arrêter et lui somme de ne plus mettre les pieds à La Rochelle. Malheureusement cet incident fait que le Capitaine Pierre Le Moyne est obligé de le congédier du navire. Il lui conseille de partir loin de La Rochelle et lui fait une lettre de recommandation pour tout futur Capitaine qui voudra le prendre à son bord.Père naturel : Eusebe Jacques Chapoux : marchand décédéMère : Marie Henriette Chapoux (née Verneuil) : gouvernantePère biologique : Henri Roger de La Rochefort Marquis de LiancourtFemme : Charlotte Françoise de La RochefortFille ainée : Claude Catherine de La RochefortGarçon : Louis François de La RochefortVaisseau « La Renommée » :Capitaine : Pierre Le Moyne d'Iberville Capitaine du vaisseau « La Renommée » vaisseau de 4ieme ligneSecond : Samuel BernardAnne Gabriel Henri Bernard, Marquis de Boulainvilliers, seigneur de Passy.Le vaisseau et le Capitaine ont réellement existé et le vaisseau a également mouillé à La Rochelle et a fait la liaison avec les Antilles. Le reste est inspiré de personnes ayant réellement vécu.
Dernière édition par Dub (Guillaume) le 2020-02-03, 08:19, édité 1 fois
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Tristan - Gaël KERGAEL dit ‘JUDA’ (de son vrai nom Kaëlig CARADEC)
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Origine culturelle : FrançaiseOrigine sociale : ArméeEnfance : StudieuseAdolescence : StudieuseProfession : Garde marineReligion : CatholiqueAvantages : Alliée : Senhora ESTELA (3 points)2 ans passés à son service ont suffi à payer ma dette avec elle et à la quitter en excellents termes.Faiblesses :Service : Père GRACIANOJe ne me vois pas lui refuser quoi que ce soit.Dettes : Innocent SAINT LOEnnemi (-3 points) : Sir Richard BLACKWOODEnnemi (-1 point) : Toussaint MERCIEUX
PNJs (d’importance) :Diacre SALAZARPère GRACIANOSenhora ESTELADiacre SALAZARQuinquagénaire rubicond, grand érudit et pratiquement sourd, Salazar est l’ancien novice du père Plumier (Charles Plumier, 1646 – 1704) dont il poursuit les recherches botaniste et naturaliste. Il renonce à se faire ordonner pour se consacrer entièrement à sa passion. Originaire de Saint-Brieuc, il sera notre précepteur à Louis et moi à chacun de ses retours en métropole. Il est à l’origine de l’éveil de ma foi et de mon désir de partir à l’aventure. Il ne quitte plus les caraïbes depuis plusieurs années. Lors de ma première année en mer j’ai eu le plaisir de le retrouver et de renouer des liens avec lui au cours d’une permission.Père GRACIANOMaigre, énergique et pratiquement chauve, cet homme dans la force de l’âge est une incarnation de la générosité. Soins aux malades, soupes populaires, soutiens aux prisonniers, avocats des miséreux.Il est très apprécié du peuple, parfois un peu moins des dirigeants.Senhora ESTELAQuadragénaire gironde elle devait être sublime dans sa jeunesse. Tenancière du bordel « la fille des mers » elle partage ses activités entre la tenue de sa « maison » et son commerce de « services ». La Senhora a un talent exceptionnel pour se faire des débiteurs et sait très bien obtenir des retours de faveurs. Quand l’ambiance tourne mal ou que les revenus baissent, Estela n’hésite pas à déménager son établissement sur une autre île.Innocent SAINT LO35 ans et déjà vieux routier de la mer, capitaine de l’Etrave pourpre. Corsaire français sans âmes ni scrupules. Il me sauve en m’accueillant à son bord, mais m’endette lourdement pour me laisser partir avec des papiers (Gaël KERGAEL) en bonne et due forme.Sir Richard BLACKWOOD30 ans, capitaine en second sur le HMS Ruthless. Battu et rabaissé devant témoins par un simple videur de bordel, Sir Richard à promis une prime pour ma capture auprès des hommes de la Royal Navy.Toussaint MERCIEUX25 ans, créole (français caraïbe) navigue depuis ses 10 ans. Excellent marin et officier en devenir (peut-être l’est-il déjà) le poste qu’il convoitait m’est revenu en raison de mes origines continentales. Ne pouvant s’en prendre au capitaine, Toussaint a juré se venger.
Je suis né Kaëlig CARADEC, ainé d’une famille de militaire des Côtes d’Armor. Mon destin est lié à Louis-Méven LE GLOAGUEN DE PLOUMOUZEN de la noblesse d’arme de la marine du roi de France. Nés le même jour, dans le même port militaire, nous avons eu la même nourrice et avons grandis ensemble. Mêmes jeux, mêmes précepteurs (dont le diacre Salazar qui nous fera tant rêver de terres lointaines) mêmes entraînements à l’escrime, même amour secret partagé… c’est tout naturellement que nous avons embarqués ensemble (lui comme sous-officier, moi comme son ordonnance) à bord de « La Disciplinée » pour reprendre le contrôle des Petites Antilles au nom du roi.La 1ère année se passe bien, quelques escarmouches lointaines poussent nos ennemis à la fuite. Un jour, nous arraisonnons un navire pirate. Peu avant d’être pendu, l’un d’eux m’affirme qu’il préfère avoir vécu libre quitte à mourir aujourd’hui, qu’être un pion sacrifiable pour la gloire de gens qui me méprisent. Sur le coup, je rejette ses dires en bloc.La seconde année nous prenons part à une importante bataille navale contre les forces anglaises. La Disciplinée est prise sous des feux croisés. Il faut fuir, mais le capitaine s’y refuse. Le combat tourne au carnage, le capitaine s’entête et l’équipage se fait massacrer sans pouvoir réagir. Louis-Méven meurt fauché lors de l’explosion de la sainte-barbe. Je récupère sa médaille, sa montre et la lettre pour ses parents en me disant que si je survis je pourrai leur rendre. Je m’accroche à un débris et je perds conscience ; pour me réveiller plusieurs jours plus tard dans une geôle britannique.C’est le père Graciano qui me soigne. En tant que religieux portugais (pays à ce moment-là en paix avec l’Angleterre et la France) il est autorisé à apporter assistance et à négocier des échanges de prisonniers. Il me prend pour Louis, je ne le détrompe pas tout de suite. Un commandant britannique m’interroge, je suis le seul « officier » survivant capturé, il me croit noble. Je me tais. Je finis par confesser la vérité au prêtre. Il me conseille de ne rien dire ; c’est d’avoir été pris pour un officier qui m’a valu d’être correctement soigné. De plus, si je parle maintenant, je risque d’être pendu comme détrousseur de cadavres.Plusieurs mois passent, j’en profite pour apprendre les rudiments de l’anglais et du portugais. Puis vient le jour de ma libération. Un navire neutre me pose sur la plus proche des îles françaises. J’ai longuement réfléchi. Le pirate avait raison, notre capitaine a préféré sacrifier tous ses hommes pour un dérisoire espoir de gloire. Ma substitution d’identité sera découverte un jour ou l’autre. Le soir je monte sur la corniche qu’on appelle le « rocher des suicidés » je laisse sous une lanterne les affaires de Louis et un simple mot : « pardon ».Je fuis dans la nuit, j’ai entendu parler d’un endroit ou la Senhora ESTELA peut vous rendre des services, je prie pour qu’elle soit encore là. La chance est avec moi, « la fille des mers » n’a pas encore quitté l’île. La Senhora est la tenancière du bordel itinérant. Elle aime « rendre des services » et « se faire de nombreux nouveaux amis ». Elle m’écoute. J’ai besoin de disparaître. Elle perce immédiatement le 1er de mes secrets : je suis un inverti. Être homosexuel à cette époque est un crime passible de mort, surtout dans l’armée. Mais pour la Senhora c’est un bon point, elle a besoin de quelqu’un pour protéger ses filles, pas pour en abuser. Elle m’engage comme videur et protecteur. Le soir même j’adopte une nouvelle identité, dorénavant en public j’arbore une cagoule de bourreau, je prends le nom de Juda.Je passe deux ans à la fille des mers. Une nuit je rosse vivement un noble anglais particulièrement violant avec les filles. Je ne le connais pas, je l’humilie devant ses hommes. Malheureusement pour moi, Sir Richard BLACKWOOD est second sur le HMS Ruthless. Seul l’ordre de « ne pas faire de grabuge » donné en échange de la permission à terre par le capitaine du Ruthless de la Royal Navy, m’évite de me faire lyncher par les marins anglais présents.Ma vie confortable prend fin. Je dois fuir. Je signe et embarque sur le corsaire L’Étrave Pourpre du capitaine Innocent SAINT LO. Rarement homme n’a aussi mal porté son nom. Rien d’innocent ni de saint chez ce noble. Corsaire français, Je m’engage à bord de son navire et fais mes premiers pas dans la (presque) piraterie. SAINT LO sait pertinemment que je fuis et que mon identité de Gaël KERGAEL est fausse. Il semble s’en ficher, mais c’est pour mieux me tenir plus tard.Qu’importe, au bout de quelques semaines comme matelot et après avoir fait mes preuves au combat, le capitaine m’offre mon ancien titre de Garde Marine. Ce, au désespoir de Toussaint MERCIEUX à qui Saint Lo avait promis le poste. Cette décision arbitraire, qui ne cache pas son racisme (Toussaint est créole), pousse MERCIEUX à quitter le bord à la première occasion, non sans avoir juré que je le paierai.Après plusieurs mois un retour vers la France est prévu. De peur d’être reconnu sur le sol français, je demande à rompre mon contrat. Le capitaine n’accepte que j’abandonne mon poste que contre une forte somme, que je ne possède pas. Il me libère néanmoins, avec des « papier en règle » et une importante dette qui ne lui aura rien couté.
Dernière édition par Dub (Guillaume) le 2020-02-03, 08:20, édité 1 fois
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Re: MJ only
Zbourf - Laurens De Sitter
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Origine culturelle : Créole (Hollandais)Origine sociale : ColonEnfance : SolitaireAdolescence : StudieuseProfession : ChirurgienReligion : HuguenotAvantages :Statut social 3 (père armateur)BaragouinRiche (2)Faiblesses : -PNJs (d’importance) :
Jeune Métis Créole Hollandais/Caraïbe, né sur l'île Saint Martin il y a 25 ans d'un amour hors mariage. Néanmoins son père l'as reconnu et lui a offert protection et éducation.Enfance difficile et solitaire, sous la pression des autres enfants.S'est réfugié dans l'école et la lecture. Son père l'as beaucoup poussé dans ce sens, sachant que Laurens ne pourrait que difficilement hériter.A l'adolescence, il fut envoyé dans une école française pour devenir médecin.De bonnes notes dans la théorie. Le tout fut conclu par une première expérience métier dans un hôpital de bataille.Liens familiaux :Willem Jan De Sitter, père de famille hollandais, armateur, 50-60 ans. Un peu bourru mais tiens à sa famille. A mis des années avant de refaire sa vie après le décès de sa première femme.Sidilla Vuniabu, Mère indienne, a travaillé pendant longtemps pour la famille, avant d'être séduite par Willem. N'as pas été épousée officiellement mais est considéré comme membre de la famille par tout le monde.Nikolaas Willem De Sitter, frère ainé, issu d'un précédent mariage. Fut élevé par Sidilla, après le décès de sa propre mère.Guido Kees De Sitter, oncle paternel, architecte naval, a souvent accueilli Laurens dans le Port et lui a appris beaucoup de chose sur les bateaux.Autres liens :Cornelis Rugier , ancien professeur. A placer Laurens à la fin de ses études.Michel Magnol, étudiant et colocataire de l'époque ou Laurens étudiait la médecine. Prompt à se rapprocher des gens, prompt à se mettre dans les histoires.
Traits :
Un tatouage au cou lisant 'De Sitter' par-dessus un espadon.
Une cicatrice à l'abdomen à la suite d’une blessure de bataille.
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